samedi 16 mars 2019

TEST DE BROCHES UN DANGEREUX AMATEURISME


            TEST DE  BROCHES
Un dangereux amateurisme incroyable  insensé !!!!

En Belgique en France et ailleurs, la connerie est universelle et dangereuse…

En effet, suite à des arrachages d'ancrages le comité départemental de la FFME a effectué des tests en axiale sur trois amarrages inox à deux points distincts et les scellements n'ont pas résistés… Le contraire fut impossible !!!

je rappelle que les "tests" en traction axiale sont une ineptie… Voir ici:


Comment voulez - vous que des "barres" inox lisses comme une peau de fesse puis tenir correctement, c'est absolument impossible en l'absence totale de rainures indispensables et qui permettent une bonne adhérence.

Cliquez pour agrandir




Plus, je vous laisse apprécier:


  

     DERNIERE NEW 18 MARS 2019

Suite à ce post, on me répond notamment que ces "broches" ont été placées dans les années 80/90 (années préhistorique) et qu'à cette époque, on ne pouvait pas savoir qu'il était nécessaire d'avoir des rainures sur de l'inox lisse, hilarant !!! Ce qui prouve une fois de plus l'incompétence des "poseurs"…. On se demande comment l'Iron Bridge est toujours debout…


C'est trop bon…

Eddy à dit

Question Broches ... Bien avant les années 80/85 même au moyen-âge il y avait des attaches (broches) pour attacher le « bêtail ». Elles sortaient des forges et étaient scellées avec du plomb.

On en trouve encore dans des anciennes fermes et il y en avait dans les rochers à Freyr - mérinos, l’al’lègne dont on racontait qu’il sortait des forges du palais royal.

Dans les années 60,  il y avait des « pitons » qui tenaient bien plus que 25 kN à condition d’être mis judicieusement et/ou cimenté convenablement. Seulement il y en a qui faisait du ciment comme de la mayonnaise.

Je signale que le ciment mis correctement continue à durcir pendant des siècles pour redevenir de la roche.

Les résines de scellement chimique sont beaucoup plus récentes. Hilti n’existe que depuis la dernière guerre et fabriquait de l’armement pour l’Allemagne …

Alors que les résines ont été « inventé » par le Belge Baeckeland (ce n’est pas l’ancien gardien de Freyr) au début du siècle passé.

Il faudra attendre les années 80 pour voir l’industrialisation des résines de scellement chimique.

Alors que le pouvoir adhérent des résines est meilleur que pour le ciment l’évolution au fil des années va dans le mauvais sens et quand il s’agit de l’utiliser c’est comme avec la mayonnaise.

Les tests le prouvent ! Ce ne sont pas les ancrages en inox qui ont lâchés mais la colle et surtout l’incompétence de certains « brocheurs ».

Acheter, prêter ou recevoir des broches et une foreuse ne fait pas de vous un grimpeur « expérimenté ».

Reste le Iron Bridge – Chapeau ! J’ai donné des cours d’informatique à Bristol. 

Le Iron Bridge « un must » construit en 1781 à visiter tout comme le « musée industriel », le « Bristol balloon festival » et les usines « Roll Royce » où étaient fabriquées les moteurs du concorde … Mais aussi en « stoemelincks » les Moacs, parmi les premiers coinceurs … que j’avais reçu des frères Brigham et qui se trouvent maintenant au Nuts-Museum d’Ajaccio.

Pour grimper il y a les « chalk rocks » le long du Severn et des Avon Gorges sans oublier la région de Cotswold, Gloucester, Cheddar.

 


lundi 25 février 2019

LA PLUS HAUTE SALLE D'ESCALADE DE BELGIQUE


 LA PLUS HAUTE SALLE D'ESCALADE DE BELGIQUE
               

SALLE D'ESCALADE D' ESNEUX
       
                          

Petit rappel pour les amateurs d'escalade artificielle style Top R et Cie.

La Dalle d'Esneux, transformée depuis peu, cela sous l'égide d'un nain de jardin répondant aux initiales PD.

La "Salle du Four à Chaux de plein air d'Esneux " n' attends plus que vous.
Vous pourrez bénéficier de 37 lignes hyper équipées avec variantes de variantes et variante Bis ,Ter, Quarte et Tutti quanti…



Attention !!! Certaines "voies" Sont si proches les unes des autres, qu'il vous faudra un GPS pour vous diriger…

Accès: Gratuit - Ambiance conviviale.

 

Horaires: 24 h sur 24 - De nuit, la frontale n'est pas fournie
Barbecue: sous réservation
Boissons aux frais à la grotte du four à chaux.

En savoir plus:

vendredi 11 janvier 2019

CLUB ALPIN BELGE


DROIT DE REPONSE au CLUB ALPIN BELGE



Le "CAB" publie sur son FB ce message " La question de l'équipement" https://www.facebook.com/ClubAlpinBelge/   bien évidemment, il m'est impossible de répondre parce-que minablement, ils m'ont exclu, pour forcément m'empêcher de rétorquer, c'est plus facile ils agissent comme en RDC et en Turquie notamment, ou on fait "taire" les opposants et en muselant les médias, honte à vous…

Il est bien évident que l'uniformisation  des passages en se hissant de broches en broches est de nature à exalter des passions "Rochassières" contrariées jusque- là…

" Joseph le chef " annonce
"Tout le monde a le droit d’avoir son opinion sans cependant vouloir l’imposer à tout prix à tous les autres, ni juger les personnes sur base de leurs opinions."

Voici ma réponse:

Je suis tout à fait d'accord avec toi, pourquoi dès lors me juger sur base de mes opinions différentes des tiennes et pourquoi c'est notoire imposes-tu unilatéralement ta "loi"

Petit exemple:

Tu déclares notamment,

"Dans le plan d'action rochers et dans le cadre du développement stratégique du CAB
  (Oufti !!!) entamé par le Conseil d’Administration depuis 2 ans) : l’état des lieux et les objectifs établis par le CA (avec mes remarques) et qui sont donc la base du projet de plan d’action".

En généralisant l'aseptisation de nos massifs, sans laisser le choix aux autres qui voudraient encore pouvoir grimper du "traditionnel"  Bien évidemment, tu prends tes précautions, soutenu par ta cour vouée corps et âme au grand chef, ils n'ont d'ailleurs pas le choix…
Eddy Abts, depuis sa lettre ouverte au CAB, c'est fait virer comme un malpropre, c'est ça la liberté de penser…Voyez la lettre en bas de page.

Jean-Claude Vittoz

Continuez le massacre… Voir ci-dessous



L'ASEPTISATION DE NOS SITES NATURELS D'ESCALADE




             LA QUESTION DE L'EQUIPEMENT

"La question de l’équipement est aussi vieille que l’escalade elle-même et elle continuera à soulever les « passions » car les grimpeurs sont des gens « passionnés », quelle que soit leur conception de l’escalade et de l’équipement. Tout le monde a le droit d’avoir son opinion sans cependant vouloir l’imposer à tout prix à tous les autres, ni juger les personnes sur base de leurs opinions.
Il y a 4 ans, le CAB a décidé des principes généraux sur l’équipement des rochers gérés par le CAB (distribué à tous les membres dans l’A&A n° 181 de septembre 2014 et disponible depuis cette date sur le site web du CAB http://www.clubalpin.be/…/Equipement_falaises_CAB_paruMai20… ).
A cette époque, il n’y a eu quasiment AUCUNE réaction (si ce n’est une réaction inverse qui critiquait « l’aseptisation » des rochers) et depuis, le travail de rééquipement suit son cours, petit à petit (sans doute pas assez vite pour certains) sur les différents massifs gérés par le CAB.

Il y a eu le 24 novembre dernier, une réunion concernant plus spécialement Freyr, avec environ 25 grimpeurs « impliqués à Freyr » avec comme objectif de mettre au point une « procédure » (et oui, il faut une procédure pour pouvoir organiser une vraie réflexion et le travail qui s’en suit).
Suite à cette réunion où nous demandions aux participants (mais aussi à TOUS les grimpeurs comme cela peut être lu dans tous les articles sur l’équipement ou les rochers qui sont parus depuis 4 ans dans A&A) de nous renseigner de façon CONCRETE ET PRECISE sur quelle voie, quel passage et quel danger, nous avons reçu des retours de 4 personnes qui nous ont fait part de premiers problèmes (sans doute que d’autres suivront, mais commençons déjà par un début …).
Depuis cette date, le temps des retours, la météo, le travail sur les autres massifs et les congés de fin d’année n’ont pas encore permis à l’équipe rochers de s’atteler à la tâche spécifique de Freyr, mais maintenant les congés sont finis et le soleil va revenir.
La synthèse de la réunion du 24 novembre dernier est mise sur le site actuel sur http://www.clubalpin.be/…/files/synthesereunion24nov2018.pdf allez donc la consulter pour savoir exactement de quoi il retourne.
L’invitation de me faire part de façon concrète de passages que vous jugez anormalement dangereux (car l’escalade restera toujours un sport à risques) est toujours valable, il suffit d’écrire à rochers@clubalpin.be en décrivant clairement et concrètement le problème et je vous fais la promesse que je vous répondrai."

Joe Dewez, responsable rochers du CAB


 Lettre ouverte au Club Alpin Belge 

En tant que mandataire des rochers de Dave, je subi régulièrement sur le terrain et lors des réunions, les sarcasmes et les "attaques" directes ou indirectes émanant du  chef et ses sous fifres et cela dure depuis plus de cinq ans.

La méthode d’harcèlement est bien rodée digne d'une stratégie militaire qui sert à se donner de l' importance devant l'assistance et surtout pour mater les ploucs récalcitrants, on ne contrarie pas le patron ... Qui joue au Stratégo avec nos vies.

Vous l'aurez compris, j'en ai marre et je ne peux plus accepter de telles attitudes à mon égard, c'est la raison de mon coup de gueule.

            Les "Entretiens" du CAB:

Lorsque André Hédiger était responsable des rochers, afin de pouvoir entreprendre les entretiens collectifs dans les règles de l'art, ce dernier se faisait entourer par d'éminents spécialistes notamment Guy Bungart, qui avait fait un travail remarquable à Freyr,  une des sommités de l'inventaire, de l'étude, de la description des espèces végétales et de la flore locale et de la mise en valeur expérimentale des escarpements rocheux. 

Aujourd’hui c'est l'anarchie la plus totale, il n’y a plus d’encadrement correct, on fait tout et n'importe quoi ...
On use d'une armée de bénévoles, une main d'œuvre facile et inexpérimentée qui se fait manipuler par quelques incompétents ce qui inéluctablement se traduit par des résultats désastreux.
Lors de ces entretiens collectifs intensifs, on arrache sans vergogne des plantes protégées dans le but d'ouvrir une variante improbable, il n'est pas rare qu'on pose par inadvertance le pied dans un nid de faucon, qu'un caillou où de la terre y atterrisse avec  les conséquences que l'on devine pour les oiseaux.

Voici un exemple de ce dimanche 12 novembre 2017 … le Festuca pallens plante protégée  qu'on arrache. Par contre, le Tillia est un ligneux à supprimer mais on le coupe sommairement au sécateur de façon qu’au printemps il repousse de plus belle...

Pour permettre et favoriser l'escalade de salle et accueillir des groupes "commerciaux" business oblige, c'est le rééquipement disproportionné, on pose des broches et des chaînes munis d'anneaux douteux un peu partout et sans discernement. dans les traversées des grandes voies classiques, comme la Jomouton, pour permettre les moulinettes systématiques.

Cet équipement absurde oblige les grimpeurs à se désencorder cette manœuvre est à l’origine de la majorité des accidents survenus  ces derniers temps dans d' autres massifs à l'équipement similaire.

Le comble de la bêtise humaine, ils recommandent l'usage de la magnésie avec "Parcimonie"

Dès que le grimpeur quitte la salle et met le nez à l'extérieur il se retrouve en "terrain aventure" avec l’insécurité inhérente à ce milieu.
Il y a des discordes parce que je j'estime que les grimpeurs sont seuls responsables de leur sécurité et de ce fait qu'ils déchargent les équipeurs, le propriétaire et le gestionnaire du site de toute responsabilité en cas  d'accident.

N’essayez surtout pas de vous opposer à ce système, on vous dira que vous n'y connaissez rien, que vous avez une attitude négative et rétrograde.

Un autre exemple parmi tant d'autres de mauvaise gestion de nos décideurs, vous vous souvenez sans doute des 7 pages dans A&A n°192 concernant le fameux testeur de broches, dont 5 pages étaient exclusivement réservées pour justifier son achat et son usage, un raisonnement pathétique  qui ne tient pas la route, face aux arguments des spécialistes.

Je mentionne cet article, parce que j’ai reçu du même auteur une page d’explications où il se porte en victime, utilisant une avalanche "d'arguments bidons" pour des situations qu'il crée lui-même et selon son habitude se plaindre de « mon » attitude...

A bon entendeur,

Eddy Abts.

PLUS:













dimanche 2 décembre 2018

GRIMPER EN HIVER ,SOUS LA NEIGE...



A l'heure ou la plupart se cantonnent quelque soit la saison, dans le confort douillet et standardisé des salles d'escalade, ces quelques recommandations leurs seront sans nul doute superflues… J'ose néanmoins espérer qu'elles pourront être utiles aux autres…
L'hiver, le froid est à nos portes, lors de séances extérieures, les onglées doigts et orteils sont quasiment inévitables, si vous avez déjà grimpé en hiver, vous savez de quoi je parle… Sans être la panacée universelle, voici quelques conseils pour limiter au maximum ces désagréments.
 
L'escalade sous zéro est une chose, grimper sur une paroi rocheuse enneigée est une autre affaire, inutile de vous expliquer pourquoi… De plus, si l'on porte des gants en escalade glacière, en rocher, c'est beaucoup moins évident personnellement, je n'y arrive pas, même dans du quatre.

Tout d’abord et de préférence, choisir les spots exposés plein sud et protégés du vent du nord. 

Lors du déplacement, on laissera les chaussures, chaussons et vêtements, à l'intérieur de l'habitacle, ils seront à température à l'arrivée.
Habillement:
Respecter la règle des "trois couches" un sous vêtement respirant, un vêtement isolant , un coupe vent et bien évidemment des gants et un bonnet toujours indispensable, car  on perd jusqu’à 30% de notre chaleur par la tête, quand vous voyez la mienne...
                           
Enfiler des vêtements amples qui ne gênent pas les mouvements lors de l'escalade et ne pas porter des chaussons trop serrés, il vous faudra de préférence posséder deux paires, été/ hiver.
Sur place:
Si vous ne voulez pas dégager la neige à la main au départ de la voie, une pelle américaine, une brosse "de rue" ou un autre ustensile du genre vous sera utile.
Prévoir un tapis de sol assez grand et épais, pour s'isoler du sol afin d' enfiler vos chaussons au sec et pour le "confort" de l'assureur.
Une couverture de survie, vous sera utile pour mettre à l'abri et au "chaud" vos chaussures, vêtements de rechange et votre matériel.

S'échauffer reste plus que jamais indispensable, quelques flexions de jambes et des étirements divers vous seront des plus bénéfiques.

De grands mouvements de rotation des bras activera la circulation et diminuera la survenue de l’onglée.

Pour les mains, la bonne vieille méthode, consiste à se les frotter vigoureusement l'une contre l'autre, avec de la neige jusqu'à ressentir de la chaleur.

 

Des chaufferettes (pied -main) pourront également s'avérer réconfortantes.

Ne surtout pas oublier de s'hydrater.

Lorsqu'il fait froid, on a tendance à moins s'hydrater et pourtant, il faut boire, une bonne hydratation fluidifie le sang.

  Cliquez pour agrandir




 

Pour les pauses, des boissons et barres "énergisantes" seront indispensables ainsi qu'un un thermos de thé ou chocolat que l'on boira tiède pas trop chaud en évitant de préférence le café, car il a un impact négatif sur la circulation périphérique et bien évidemment, en excluant impérativement l'alcool. 

Voilà, il ne vous reste plus qu'à attendre la poudreuse, bonne grimpe. 

                                                       REGISSA





Dans le Dièdre de la Fouine


Aie! Aie! Les doigts



 
Relais
 

Roche aux Corbeaux Lompret


Comblain-la- Tour

Richelsley


 

jeudi 29 novembre 2018

LE PIC DE JALOUVRE ET LA POINTE PERCEE


                       Le Jalouvre à gauche et la Pointe Blanche.


Situation:

France- Haute-Savoie- Bornes -Aravis

Le Grand Bornand



Notre "refuge" de luxe à Chinaillon, en vieillissant on s'embourgeoise…

https://m.webcam-hd.com/grand-bornand/chinaillon




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En guise d'échauffement nous débuterons par le Pic de Jalouvre, une
petite montagne dominant la Chaîne du Bargy et le col de la Colombière à 2408 mètres.

Le col de la Colombière





Nous gravirons, Le Lord Anglais: TD inf  200 mètres 6a  Une jolie petite grande voie, bien équipée.
Descente en rappel dans la voie, tous les relais sont chaînés. Rappels de 50 mètres.

Approche: 10 minutes.

Du parking de la carrière (Col de la Colombière), longer la paroi jusqu'à une plaque bleue "les Gaguistes" indiquant le départ de la voie.




Itinéraire
On attaque par les deux premières longueurs "Les Gaguistes" Au deuxième relais tirer à droite pour rejoindre "Le Lord Anglais"









Commentaires et topos: 


A Savoir:

Pour les amateurs il y à aussi la via ferrata du Jalouvre:





Ensuite ce sera:
 
 LA POINTE PERCEE


 Cliché exceptionnel d'Alexandre Deschamps             

Situation:
Le Grand - Bornand

La Pointe Percée est le plus haut sommet de la Chaîne des Aravis, elle culmine à 2750 mètres, face au Mont-Blanc.
Approche

Du parking du col des Annes suivre le large chemin qui rejoint la tête des Annes (bosse juste à gauche du télésiège) De là, suivre le sentier balisé qui mène au refuge de Gramusset - Dénivelé:  +/-500 mètres - compter 1h30 à 1h45. 

Du refuge à l'attaque +/- 30 à 45 minutes.

Par un lapiaz, pas piqué des hannetons...





Col des Annes, la pointe est encore loin




It's a long way
 

Le refuge et le sourire de Marie


Le refuge en hiver


Ca Rigole dans les Cannelures : TD/ 350m - 5c/6a - 5c obligatoire.

Remarques :

En septembre, nous étions seuls sur la paroi.
La voie est assez éloignée des autres itinéraires, l'escalade se déroule sur un bon calcaire et reste à l'ombre une bonne partie de l'ascension.
L'équipement est plutôt aéré, un point tous les 5 à 8 mètres (Spit+ plaquette) et est parfois peu visible. Tous les relais sont bien équipés.

Blanc: l'approche - Rouge la voie - Jaune descente


Matériel :

10 dégaines, un jeux de coinceur et sangles.


Plus:

https://www.camptocamp.org/routes/54405/fr/pointe-percee-ca-rigole-dans-les-cannelures

NB. Nous avons réalisé cette course dans la journée, sans loger au refuge.

Stéphane Winandy - J-C Vittoz